Comprendre les restrictions de liens de Meta sur les plateformes de médias sociaux
Meta a récemment mis en place des restrictions sur les liens partagés via ses plateformes, notamment Threads, Instagram et Facebook, en particulier ceux qui mènent à une newsletter de Ken Klippenstein. Cette newsletter contiendrait prétendument un dossier sur JD Vance, qui aurait été obtenu par le biais d'un piratage iranien ciblant la campagne de Trump.
La raison derrière la décision de Meta
La position officielle de Meta est claire : ils ne permettent pas le contenu provenant de sources piratées ni les informations qui ont été divulguées dans le cadre d'opérations gouvernementales étrangères visant à influencer les élections américaines. Selon leurs Standards communautaires, la société a déclaré :
"Nos politiques ne permettent pas le contenu provenant de sources piratées ou le contenu divulgué dans le cadre d'une opération gouvernementale étrangère pour influencer les élections américaines. Nous allons bloquer de tels matériaux d'être partagés sur nos applications selon nos Standards communautaires."
Application de la politique
Des rapports indiquent que des utilisateurs sur Threads ont vu leurs publications contenant le lien vers la newsletter de Klippenstein supprimées. De plus, Meta semble désactiver les liens vers des sites externes hébergeant le dossier, tels que Scribd et Google Drive. Par conséquent, de nombreux utilisateurs ont recours à des méthodes alternatives pour partager le contenu. Certains posts font directement référence à une recherche Google pour l'article Substack de Klippenstein, tandis que d'autres modifient créativement le lien en insérant des espaces aléatoires ou en utilisant des codes QR pour contourner les restrictions.
Impacts sur les publications des utilisateurs
- Des publications ont été supprimées pour avoir partagé des liens vers le dossier.
- Les liens sur d'autres plateformes d'hébergement ont été bloqués.
- Les utilisateurs créent des moyens alternatifs pour partager des informations.
Réponses des autres plateformes
Cette tendance n'est pas limitée à Meta, car X (anciennement Twitter) a également commencé à bloquer des liens vers cette histoire. Les utilisateurs sur diverses plateformes de médias sociaux ont rapporté des complications dans le partage de documents via Google Drive, bien que certains aient réussi à le faire via des comptes personnels.
Demande de commentaires
Pour l'instant, ni Meta ni X n'ont répondu aux demandes concernant leurs politiques actuelles sur le partage du dossier. De plus, les demandes envoyées à des fournisseurs de services cloud tels que Box, Apple, Dropbox et Microsoft sont également restées sans réponse.
Conclusion
Alors que Meta continue d'appliquer ses politiques concernant les matériaux piratés et l'ingérence étrangère, les utilisateurs doivent s'adapter à de nouvelles méthodes de partage et être conscients de ces restrictions en cours. Les utilisateurs souhaitant partager des informations sensibles sont invités à considérer les implications de le faire sur des plateformes avec des directives communautaires strictes.
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