Explorer l'agenda audacieux du CCDH contre Twitter
Selon des rapports récents de Odaily, des documents internes examinés par The DisInformation Chronicle ont révélé des révélations étonnantes concernant le Centre britannique pour lutter contre la haine numérique (CCDH). Notamment, l'un de leurs principaux objectifs est formulé comme étant 'tuer Twitter de Musk'. Cette revendication ambitieuse a été outline dans leurs documents de planification de début 2024.
Le focus stratégique sur X
Les plans du CCDH indiquent un effort concentré pour initier une action réglementaire contre X (anciennement connu sous le nom de Twitter). Ces actions soulèvent des questions pertinentes concernant les activités de l'organisation, notamment en ce qui concerne son statut d'entité exonérée d'impôts 501(c)(3).
Collaboration avec des entités influentes
Des dossiers obtenus montrent que le CCDH a activement engagé avec une variété de groupes influents. Parmi les mentions notables figurent :
- La Maison Blanche de Biden
- Le bureau du député Adam Schiff
- Le Département d'État
- Des représentants de Media Matters for America
Ce réseau d'alliances met en évidence la portée de l'organisation et son impact potentiel sur les réglementations des médias sociaux.
Litiges avec X
En 2023, le CCDH s'est retrouvé en désaccord avec X, entraînant une poursuite déposée par la plateforme de médias sociaux contre le nonprofit. Cependant, cette affaire a été rejetée par un juge fédéral, qui a suggéré que la poursuite de X semblait être une tentative de pénaliser le CCDH pour son reportage critique sur la plateforme.
Réaction publique et implications
La révélation de l'agenda du CCDH a suscité des réactions mitigées. Les partisans soutiennent que des mesures fortes sont essentielles pour contrer la désinformation et le contenu nuisible sur les réseaux sociaux, tandis que les critiques remettent en question l'éthique et les motivations derrière un tel agenda.
Conclusion
Alors que le CCDH continue sa poursuite contre X, les implications de ces actions sont de grande portée, pouvant influencer les cadres réglementaires régissant les plateformes de médias sociaux. Les observateurs suivront de près l'évolution de la situation en 2024 et au-delà, notamment à la lumière des débats en cours sur la liberté d'expression et la responsabilité numérique.
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